25.4.09
22.4.09
venerdì santo - i misteri
Trapani fait le plein de touristes pour la procession qui fait déambuler des scènes de la passion du christ et de la via crucis et qui se clôt par le passage de l'ADDOLORATA. Ces autels, portés à dos d'hommes, débordent de fleurs et de cierges qui ruissellent sur les porteurs et sur la chaussée, ils sont ornés de mille éléments argentés, briqués à mort, qui brillent de mille feux.
Comment dire...moi, ça m'exalte!
C'est plein de détails qui tuent. Rien que le nombre des scènes représentées est incroyable, ça n'en finit plus! Les derniers moment du christ in very slow moOooOootion... même le "soulèvement de la croix" fait l'objet d'un autel...
C'est rythmé par les clac-clac du porteur en chef
clac-clac-clac on pose
clac-clac on se remet en position
clac-clac-clac on repart
Il semble que le poids à porter soit à peine trop lourd pour les porteurs et mon jeu consiste à observer dans tous les visages les signes de l'effort, voire de la souffrance... Question d'expérience: on en voit aussi qui fument à la pause ou bavardent gaiment dans leur portable...
Comment dire...moi, ça m'exalte!
C'est plein de détails qui tuent. Rien que le nombre des scènes représentées est incroyable, ça n'en finit plus! Les derniers moment du christ in very slow moOooOootion... même le "soulèvement de la croix" fait l'objet d'un autel...
C'est rythmé par les clac-clac du porteur en chef
clac-clac-clac on pose
clac-clac on se remet en position
clac-clac-clac on repart
Il semble que le poids à porter soit à peine trop lourd pour les porteurs et mon jeu consiste à observer dans tous les visages les signes de l'effort, voire de la souffrance... Question d'expérience: on en voit aussi qui fument à la pause ou bavardent gaiment dans leur portable...
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19.4.09
sicilia bedda (2)
A Marettimo, il ya très peu de touristes.
Nous en croisons 2-3 dans l'unique village de l'île,
et puis nous partons, seuls, en direction de Punta Troia,
de son château et de sa petite plage isolée.
La plage n'a pas encore été débarassée des déchets que la mer a rejeté et elle déborde d'objets de tous genres. Nous trouvons quand même une partie dégagée où nous pique-niquons gaiement. Il y a même une espèce d'embarcation échouée un peu plus loin où nous irons faire une mémorable sieste...quand on peut choisir entre une plage pleine de fouilli et des transats improvisés 100% plastique qui épousent merveilleusement la forme du corps, hein...
Au retour, nous croisons, non sans surprise, un fasciste de ministre du gouvernement italien. 'Faut dire qu'on ne s'attendait pas à le voir se prélasser à la terrasse d'un café le lendemain du terrible tremblement de terre à l'Aquila...
18.4.09
sicilia bedda (1)
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