29.4.07

Nova Publicidade da Lego


Notre premier ministre, l’Engenheiro José Sócrates Carvalho Pinto de Sousa (partido socialista), est au centre d’une polémique qui dure depuis des semaines.
En mars, deux journalistes (Público et Expresso) l’accusent en effet d’avoir obtenu son diplôme d’Engenharia Civil à l’Universidade Independente de Lisboa en 1996 de manière peu licite.
Favoritisme? Corruption? Depuis, le premier ministre est allé s’expliquer à la télé, mais les médias n’en démordent pas. Z’ont vraiment pas grand chose à se mettre sous la dent, mais ça donne des idées rigolotes aux satiristes...


Il nostro primo ministro, l’Engenheiro José Sócrates Carvalho Pinto de Sousa (partido socialista), è al centro di una polemica che va avanti da settimane.
In marzo, due giornalisti (Público et Expresso) l’accusano in effetti di essersi laureato in Engenharia Civil all’ Universidade Independente de Lisboa in 1996 in modo poco lecito. Favoritismo? Corruzione? Nel frattempo il primo ministro è andato a dare spiegazioni in tivù, ma i media non mollano. C’hanno davvero poco da mettersi sotto i denti, ma dà idee divertenti ai satiristi...

26.4.07

"ciù revolusciòn is megl ke uan"

Per il pubblico italiano (e non), un altro modo per approfondire i fatti del 25 aprile 1974 è vedere il non essenziale film "Capitani d'Aprile" del 2001 che vede per la prima volta dietro la macchina da presa l'attrice Maria de Medeiros (ha interpretato tra l'altro Anaïs Nin nel "Henry e June" di Philip Kaufman del 1990 e Fabienne, la fidanzata di Bruce Willis in "Pulp Fiction" di Q.Tarantino del 1994). Per il ruolo del capitano Salgueiro Maia è stato scelto, solo per la straordinaria somiglianza e spero non per le sue doti, il nostranissimo Stefano Accorsi, l'attore incapace di recitare e che, nonostante questo, è diventato il più famoso attore italiano.




Evidentemente, da Bologna per il Portogallo, non si esportano solo dei "geni" come me.

Pour le public italien (et pas seulement), un autre moyen d'approfondir les faits du 25 avril 1974 peut être la vision du film, pas exactement essentiel, "Capitaines d'avril" (2001) qui voit pour la première fois derrière la caméra l'actrice Maria de Medeiros (entre autres, interprète d'Anaïs Nin: "Henry and June" de Philip Kaufman, 1996, et de Fabienne, la fiancée de Bruce Willis dans "Pulp Fiction" de Quentin Tarantino, 1994). Pour interpréter le rôle de Salgueiro Maia, a été choisi (uniquement à cause de l'extraordinaire ressemblance et non, j'espère, pour la qualité de son jeu) l'italien Stefano Accorsi, acteur, selon moi, médiocre, mais qui est cependant l'acteur le plus célèbre d'Italie.
Il semble évident que de Bologne n'exporte pas seulement des "génies" de mon acabit.


25.4.07

Há 33 anos, a revolução dos cravos...

En fait, le 25 avril commençait le 24 au soir. Pendant que Tiago et qqs amis regardaient le match Milan-Manchester, nous avons dînés (Paolo, Alice et moi) dans une tasca à Alcântara. Le match et le dîner finis, nous nous mettons en route, direction Oeiras (vers Cascais) dans la Lada de Tiago. Nous allons écouter un collègue, Filipe, chanter des fados de Coimbra et autres chansons d’un artiste plutôt important: José (dit Zeca) Afonso, l’auteur de Grândola, vila morena.
Il pleut. Quelques gouttes, pas bien méchantes. Nous avons beaucoup de retard, mais le concert en a plus que nous et quand nous arrivons, il doit encore commencer. C’est en plein air. Nous nous installons au premier rang, encapuchonnés. Il y a deux chanteurs, un joueur de “viola” (guitare portugaise à douze cordes) et un joueur de guitare classique à six cordes. Et un groupe d’Espagnols en vacances. Pour nos amis espagnols, la présentation du concert est traduite en castillan et un vidéo-projecteur reproduit le début de chaque chanson, ce qui simplifie de beaucoup la compréhension. Le groupe n’est pas très au point, mais les chansons sont belles. Le concert, logiquement, se termine avec Grândola, vila morena.
Nous reprenons les voitures pour rejoindre la Praça do Carmo, symbole de la révolution puisque c’est là que la dictature tomba. En chemin, nous voyons éclore quelques bouquets de feux d’artifice, il est minuit. La place est petite. Elle est, bien sûre, bourrée de monde et de stands. Nous arrivons un peu tard pour les chansons révolutionnaires. Sur la scène, ce sont des Brésiliennes qui chantent... Impossible de trouver une bière, signe que la fête bat son plein depuis un petit moment. Nous nous rabattons sur la sangria, mais quand c’est au tour des rapeurs portugais de monter sur la scène, nous prenons la fuite, direction Rua da Rosa 261, le bar Agito où nous finissons un samedi sur deux et parfois en semaine, quand Vitor fait le DJ...Il s’est mis à pleuvoir plus fort, ouf, nous arrivons. A l’intérieur l’ambiance est bonne et nous nous réchauffons vite. Rituel immuable du bar: un peu avant la fermeture, à 2 heures, il y a le moment de la musique nationale. En général, c’est un bon moment: les gens se mettent chanter à pleine voix.
Hier, 25 avril oblige, la dernière chanson fût bien évidemment Grândola, vila morena. J’essaye de suivre: Grândola, vila morena / Terra da fraternidade / O povo é que mais ordena...et après?...j’connais pas les paroles...vergonha! Heureusement, les autres ça fait entre 20 et 33 ans qu’ils la chantent et le petit bar s’emplit de toutes leurs voix. Il pleut toujours plus fort. On est maintenant une dizaine et bouger un groupe de ce genre prend du temps. On passe d’un bar à un autre, mais ils sont plein, dehors il pleut...on tourne un petit moment avant de ramener nos carcasses mouillées à la maison. RDV le lendemain à 14h30 ao Marquês de Pombal.


Le lendemain, il y a du vent, nuages et soleil vont et viennent toute la matinée et puis finalement, c’est le soleil qui gagne. Quand on arrive au sommet de l’avenida da Libertade, on aperçoit un groupe déjà en marche, les autres groupes s’organisent. Il y a le rouge des œillets, le rouge des banderoles, des tee-shirts, des jupes, des kilts même!....On rencontre pas mal de têtes connues, des collègues, leurs amis...Ça y est le reste du cortège se met en marche pendant que, de chaque côté de l’avenue, les gens se regroupent pour les regarder passer, les œillets et les poings sont brandis et les slogans répétés quasiment sans interruption:





25 de Abril sempre!
Fascismo nunca mais!


Abril está na rua!
A luta continua!

Para continuar Abril,
somos muitos muitos mil!


O povo unido jamais será vencido!


Impossible de voir la fin du cortège, nous commençons à descendre nous aussi l’avenue pour voir les différents groupes. Ce sont les jeunesses communistes qui crient le plus fort et le plus convaincu. Ça fait chaud au cœur.


Il y a un moment difficile car le vent se lève juste quand on passe en dessous des platanes (?) qui se mettent à déverser sur nous leurs fruits velus dont les poils nous rentrent dans les yeux, dans le nez...Les éternuements et les quintes de toux remplacent les slogans jusqu’à Restauradores.
Là, du piedestal de l’obélisque, nous regardons passer le cortège. Les premiers sont déjà arrivés à Praça do Rossio et l’avenue est noire de monde jusqu’en haut, à Marquês de Pombal. Moi ça m’impressionne, mais les collègues disent qu’il n’y a personne, cette année...bon, moi c’est la première fois. Je veux bien les croire. Après avoir vu passer pas mal de groupes et comme on connaît déjà les slogans, on décide d’aller jusqu’à Praça do Rossio. Sur la scène, un chant révolutionnaire cubain. Entre chaque chanson:

25 de Abril sempre!
Fascismo nunca mais!






On a le droit à quelques autres chansons engagées et, bien sûr quand c’est au tour de Grândola, vila morena, toute la place se met à chanter, l’œillet ou le poing levé. C’est dans des moments comme ceux-ci qu’on se met à croire que tout n’est pas perdu....


C’est l’heure des discours, un paquet de représentants des différents cortèges du défilé montent sur scène sous les applaudissements ou les huées (la représentante socialiste)...

On retrouve qqs amis dispersés dans la foule et on décide d’aller boire une ginja pour fêter ça: quoi de plus approprié que cette liqueur rouge?!

Malheureusement, beaucoup d’autres manifestants ont eu la même idée et nous renonçons bien vite. Certains, comme nous, n’ont pas mangé à midi, alors on se déplace vers le kébab le plus proche. Puis, nous rejoignons un autre groupe attablé à la terrasse d’un petit bar pour des cafés, des imperiais et qqs caracois. On parle d’une autre manifestation à 18h00, contre le fascisme, le capitalisme et le racisme...
Et en effet, au bout d’un moment, les voilà qui déboulent avec un groupe d’anarchistes tout de noir vêtus à leur tête. Ils crient tout ce qu’ils peuvent:

O povo unido não precisa dum partido!
(le peuple uni n’a pas besoin du parti)

Santa Comba Dão é a terra do cabrão!
(Santa Comba Dão est la terre du bouc, le bouc (cocu) étant Salazar et Santa Comba Dão sa ville natale)

Les rares policiers sont complètement débordés. Certains amis de Tiago les suivent, tandis que nous nous dirigeons vers le Crew Hassan (prononcer “croissant”) pour une dernière bière avant de déclarer, vers 20h00, close cette journée de commémoration.

A la télé, on apprend qu’il y aurait eu des affrontements dans le Chiado et que 11 des anarchistes ont été arrêtés. En effet, les images montrent la police bien décidée à mettre un terme à la manifestation...Tant qu’il s’agit de suivre un parcours bien délimité et approuvé par les autorités, tout va bien, mais gare à ceux qui crient quand il ne faut pas et où il ne faut pas...

REVOLUÇÃO!!

traduzione in italiano di cicciobomba

A revolução dos cravos

Il 25 aprile non è una data importante solo per l'Italia, ma anche per il Portogallo, in quanto è l'anniversario della caduta del regime fascista più longevo d'Europa (avvenuto appunto il 25 aprile 1974) e l'inizio della democratizzazione del paese.
Bisogna ringraziare i militari, che, contrariamente a quello che sia mai avvenuto in ogni altra parte del mondo, furono gli artefici di questa rivoluzione (incruenta, alla fine si conteranno "solo" 4 morti e pochi feriti), in quanto stufi di dover portare avanti e rischiare la propria vita in assurde, anacronistiche ed improduttive guerre coloniali in Angola e Mozambico, che avevano portato ad un impasse economico il paese.
In precedenza c'erano stati pochi segnali di ribellione al regime, che venivano prontamente repressi. Negli ultimi tempi cominciarono ad intensificarsi manifestazioni degli studenti universitari che chiedevano una democratizzazione dello studio. All'interno dell'esercito, si formo un gruppo di militari contrari al regime e alla sua politica coloniale, il Movimento das Forças Armadas. Fu quest'ultimo, comandato da Otelo Saraiva de Carvalho ad organizzare il golpe che pose fine al estado novo.
Il via alle operazioni fu dato dalla trasmissione in ordine stabilito, di due canzoni dalle onde di "Limite", il programma musicale quotidiano notturno di "Rádio Renascença". Sul giornale del giorno precedente era stato scritto un articolo che invitava all'ascolto di tal programma ed il conduttore del medesimo era riuscito a fare passare per le maglie della censura interna della radio, emittente cattolica legata alla curia lisbonese, la scaletta scelta dai militari. Alle 23 del 24 aprile fu trasmessa la primeira senha "e depois do adeus" di Paulo de Carvalho una sciatta canzone d'amore che aveva vinto un qualche festival della canzone simil Sanremo. A mezzanotte e 20 fu la volta della celebre senha, la canzone Grândola, vila morena di José "Zeca" Afonso (fino ad allora assolutamente proibita), da lui composta in omaggio alla "Sociedade Musical Fraternidade Operária Grandolense" (Grândola è una cittadina del sud del Portogallo), una delle prime cooperative e associazioni operaie severamente represse dal regime. Una canzone scelta dai militari proprio perché parla di fraternità, di pace e di uguaglianza presa a simbolo da delle forze armate che, una volta tanto, fecero veramente il bene del loro popolo.

La canzone è presente nell'album del 1971 "Cantigas do Maio", e per averla eseguita in pubblico più volte, José Afonso dovette subire numerosi arresti ed interrogatori da parte della polizia ordinaria e della PIDE (polizia segreta).
Tra mezzanotte e 30 e le 3 la città viene occupata militarmente. Le truppe della Escola Pratica de Cavaleria de Santarem al comando del capitano Salgueiro Maia, dopo aver aver arrestato il comandante della caserma, avanzano verso Lisbona non incontrando resistenza. Lo stesso avviene nelle altre città. Tra le 3 e le 4 vengono occupate varie radio, la televisione di stato, l'aereoporto e la PSP (polizia) che accenna ad un lieve tentativo di resistenza. Alle 4 e 20 viene trasmesso il primo comunicato, nel quale la popolazione viene invitata a conservare la calma e restare in casa, ed un seguito un altro ad uso di forze militari e poliziali, nel quale il MFA. si assumeva il comando ed invitava a non intralciare le operazioni.
Da subito nelle radio passano canzoni fino ad allora censurate. Alle 5 e 30 Praça do Comercio è già occupata dalle forze del MFA. Seguono altri 2 comunicati dello stesso tenore dei precedenti. Alle 8 e 30, dopo aver strategicamente occupato tutti i posti chiave, i militari hanno il pieno controllo della Baixa, dove si concentrano tutti i ministeri, sbarrando ogni accesso a quell'area. L'area comunque comincia ad affollarsi di civili, venuti a sostenere l'attività del MFA.
Tra le 8 e 45 e le 11 ci sono momenti di tensione. Una colonna armata, fedele al regime, presente al Terreiro do Paço a difesa di alcuni ministeri, non ha nessuna intenzione di arrendersi. É più uno scontro verbale, di minacce, e alla fine, dopo la resa del comandante, i militari passano tra le file del MFA.
Nel frattempo il primo ministro del regime Marcelo Caetano, successore del dittatore Salazar, morto nel 70 in seguito alle complicazioni di una caduta dalla sedia avvenuta nel 68, si è rifugiato nella caserma del GNR (guarda nacional republicana, + o - i nostri carabinieri) di Largo do Carmo, nel Chiado.
Forze del MFA arrivano al Largo do Carmo provenienti dal Terreiro do Paço, dopo un cammino trionfante in mezzo alla popolazione festante in una impressionante manifestazione di appoggio ai militari.
Altre forze presente nel Terreiro do Paço si muovano intanto in direzione della Rua Antonio Maria Cardoso sede della PIDE/DGS (polizia segreta).
Alle 19 e 30 Caetano si arrende, anzi, accetta la fuga in un mezzo blindato ed il conseguente esilio in Brasile, solo dopo un lungo asserragliamento in un Largo do Carmo strapieno di popolazione che continuava ad apostrofarlo assassino. Non tornerà mai più in Portogallo. Stessa sorte per Americo de Thomaz, il presidente della repubblica.
Sul fronte sede del PIDE la situazione si fa problematica. Il palazzo, con un centinaio di agenti asserragliatosi all'interno è circondato dalla popolazione. Uno di questi spara all'impazzata, uccidendo 4 civili. L'intervento del MFA, in quel momento non presente sul posto, riuscì solo nel mattino successivo e dopo aver fatto sgomberare la popolazione inferocita a snidare ed arrestare i componenti di questa polizia fascista ed assassina, che probabilmente ebbe tutta la notte di tempo per eliminare le prove più ingombranti di 5 decenni di "lavori sporchi"; nei loro archivi furono trovati, oltre ad armi di qualsiasi tipo, dossiers completissimi sopra la vita di quasi tutti i portoghesi.
Chiudo qui questa cronaca non troppo dettagliata di quel giorno che oggi viene ricordato.
Chi volesse saperne di più , può trovare una buona descrizione qui.
Ovviamente, come accade in tutte le rivoluzioni, lo spirito del 25 aprile è stato presto tradito. Al 25 novembre 1975 tutti i fautori della liberazione erano già stati messi in disparte ed il potere era tornato nelle mani delle stesse forze conservatrici che l'avevano prima, solo che ora erano mascherati da democratici.

traduction en français de casoleil

SARKO - BERLU...MEME COMBAT...

Non ci sono dubbi, esiste un legame forte tra Sarkozy e Berlusconi: il fascismo non ha frontiere, pois não. Ma ecco che Berlusconi dichiara praticamente essere la mente della campagna elettorale di Sarkozy...Ieri il cavaliere si è illustrato nel suo sport favorito: le dichiarazioni ad alto tasso di egocentrismo e di stupidità. Non so se piacerà a Sarko però...
Aucun doute là-dessus, il existe un lien solide entre Sarkozy et Berlusconi: le fascisme n’a pas de frontières, pois não. Mais voilà que Berlusconi déclare quasiment être le cerveau de la campagne de Sarkozy...Hier Berlusconi s’est en effet illustré dans son sport favori: les déclarations à haut taux d’égocentrisme et de bêtise. Je ne sais pas si ça va bien plaire à Sarko...


La Repubblica 24-04-2007

Francia, l'incognita dei voti di Bayrou
Sarkozy e Royal corteggiano i centristi

(...) Gli sviluppi francesi sono seguiti con grande interesse anche in Italia. E oggi Silvio Berlusconi ha rivendicato la paternità di alcuni punti del programma di Sarkozy: "Molti spunti dei suoi discorsi sono tratti dai miei libri - ha affermato il leader di Forza Italia - io avevo un'idea che avevo dato anche ai miei amici francesi: quella di dar vita a un ministero dell'immigrazione e dell'identità nazionale".

France, l'inconnue des votes Bayrou
Sarkozy et Royal courtisent les centristes

(...) En Italie aussi les élections françaises sont suivies avec beaucoup d’intérêt. Et aujourd’hui Silvio Berlusconi a revendiqué la paternité de certains points du programme de Sarkozy: “Beaucoup d’éléments de ses discours sont tirés de mes livres - a affirmé le leader de Forza Italia - j’avais une idée que j’ai donné à mes amis français: celle de donner vie à un ministère de l’immmigration et de l’identité nationale”.








24.4.07

Mi piange veramente il cuore, ma ci sono costretto

x chi abita a Bologna e dintorni:
Vendesi, causa trasferimento all'estero, fiat multipla 1600 bipower del 2002 in buonissime condizioni, impianto a metano revisionato 2006 (valido fino al 2011). Ha qualche chilometro alle spalle, ma non ha mai avuto nessun tipo di problema (s'è fatta un Bologna-Lisbona e ritorno senza fare beo).
Macchina ideale x aggirare i blocchi traffico che ci sono dalle vostre parti, consumi limitati.
Prezzo attorno agli 8K€.
Non fatevi sfuggire un'occasione simile

22.4.07

Auguri...

... a Bologna in occasione del suo primo XXI aprile senza di me. Siamo tornati da una settimana e non abbiamo ancora ripreso i contatti blogghistici, in quanto impegnati sul fronte cinematografico/festivaliero. Arriveranno a breve, con il consueto ritardo, posts su: il mitico ultimo viaggio della multipla, pasqua a bologna, indielisboa, 25apr, etc

4.4.07

SEXE - SESSO - SEX - SEXO !!

- Paolo, c'est quoi le problème, tu crois? Pourquoi il est si peu commenté notre blog?
- Je sais pas, mais ils sont mous du clavier, les copains.
- Y a pas de fesse, de sexe, ça doit être ça.
- Peut-être bien.
- Bon, t'as pas une photo un peu hot sous la main?
- Bin, sur une photo, on voit les couilles d'un cochon noir...
- Ah... t'as pas plus spectaculaire?
- Bin, si je zoome dessus...
- Bof...autre chose?
- Mais, je sais pas, moi. T'as qu'à chercher sur internet, y a tout ce que tu veux.
- Ah mais non, il faut que ça ait un rapport avec le Portugal, avec l'actualité...faut que ça ait un rapport, quoi.


- Paolo, secondo te qual'è il problema? Perché il nostro blog è così poco commentato?
- Non lo so, ma sembrano tutti addormentati della tastiera.
- Non c'è sesso, dev'essere per questo.
- Può darsi.
- Non ce l'hai una foto sexy sotto mano?
- Bè, su una foto si vedono i coglioni di un maiale nero.
- Ah...niente di più spettacolare?
- Guarda che se ci zoomo...
- Mah...nient'altro?
- Ma non lo so, prova a guardare su internet, ci si trova di tutto.
- No, bisogna che c'entri con Lisbona, con l'attualità...bisogna che c'entri.


2.4.07

x chiunque fosse interessato

Paolo e Carine saranno a Bologna da sab.7 apr. (salvo problemi automobilistici) a sab.14 apr.

1.4.07

utilizzo creativo dell'azulejo

energia eolica

20 e passa metri di pala per un diametro di quasi 50 metri. Niente male!

1 de Abril em Lisboa (2)

Manifestazione scarsissima (50 partecipanti si e no), ma molto, molto colorata