15.12.06

BOM NATAL




peccato che non si sia l'odorama...non potete approfittare pienamente di questo albero di natale tutto di bacalhau...
dommage, sans odorama vous ne pourrez pas profiter pleinement de cet arbre de noël entièrement fait de morues séchées...

14.12.06

Vous vous souvenez? / Vi ricordate?



Je voudrais ici officiellement défendre le film Dans Paris malmené dans l'un des commentaires du blog de la-chica-de-cuernavaca. Ce film effectivement largement affligé d'un "intello-snobisme" parisien assez puant a deux énormes atouts:
- le premier, c'est un Guy Marchand épatant (en plus, ça rime)
- le deuxième, c'est la chanson de Kim Wilde, Cambodia, proposée intégralement dans une scène du film.
Amis des chansons démodées, défoulez-vous! Montez le son et mettez-vous à hurler: Woh-oh-oh-woh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh.....
Je vous épargne le clip de la chanson vu sur you tube...quand même...

Vorrei difendere qui ufficialmente il film Dans Paris maltrattato in uno dei commenti del blog della chica-de-cuernavaca. Questo film effettivamente afflitto da un intelletualismo-snob-parigino assai penoso ha comunque due grossi pregi:
- il primo è un eccellente Guy Marchand
- il secondo è la canzone di Kim Wilde, Cambodia, proposta integralmente in una scena del film.
Amici delle canzoni passate di moda, sfogatevi! Alzate il volume e mettetvi a urlare: Woh-oh-oh-woh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh...
Vi risparmio il videoclip della canzone visto su you tube...sarebbe troppo...

13.12.06

Koop

Lunedì sera, ripresomi dai drammi del giorno precedente, sono andato al concerto dei koop al casinò di Lisboa.
Concerto gratuito (bazza, meritava anche 30 €uri) del quale avevo scoperto l'esistenza il pomeriggio stesso. L'opzione era andare a vedere con Carine l'ennesimo pallosissimo film coreano in cinemateca.
Il posto è trashissimo, un'arena circolare che si sviluppa in verticale, al centro 2 pedane girevoli (1 dentro l'altra) in senso contrario, con tavolini ed in 1/2 un bar circolare con barman acrobatico. Ai piani superiori slotmachines e tavoli da gioco affacciati sulla terrazza. Il palco si trova al 2°piano, 2 megaschermi ai lati, e gli artisti per farsi vedere dai sottostanti, performano pericolosamente vicino al bordo senza protezioni. L'acustica non è il massimo.
Il concerto è stato bello, 1h30 con brani sia dall'ultimo disco che da quello precedente. Il duo era accompagnato da una band di bravi musici jazzisti professionals (con figura di cacca del batterista che perde le bacchette durante il suo assolo) e dalla cantante Yukimi Nagano, in serata non particolarmente brillante (voce roca da troppe sigarette, un paio di "stecche" negli acuti dei brani normalmente non cantati da lei).
Scelta positiva, peccato per il film coreano.


Lundi soir, remis du dramme du jour précédent, je suis allé voir le concert des Koop au casino de Lisboa.

Concert gratuit (trop cool, j'aurais été prêt à aller jusqu'à 30 €) dont j'avais découvert l'existence l'après-midi même. L'autre option étant d'accompagner Carine voir l'ennième chiantissime film coréen à la cinemateca.
Le lieu est super "trash": une arène circulaire qui se développe en vertical avec, au centre, deux estrades tournantes (l'une dans l'autre) en sens contraires, avec des tables et au milieu, un bar circulaire avec barman acrobatique. Aux étages supérieurs, machines à sous et tables de jeu en terrasse. La scène se trouve au 2ème étage, avec 1 écran géant de chaque côté, et les artistes, pour se faire voir du public, font leur performence dangereusement prêt du bord sans protection. L'accoustique n'est pas géniale.
Le concert fut un bon moment: 1h30 avec des morceaux du dernier album comme de l'album précédent. Le duo était accompagné d'un groupe de musiciens jazz professionels (surtout le batteur qui perd ses baguettes durant son solo) et de la chanteuse Yukimi Nagano au cours de l'une de ses soirées particulièrement peu brillante (voix rauque après avoir fumé trop de cigarettes, un ou deux "couac" dans les aigus des morceaux normalement chanté par une autre).
Mais choix positif, dommage pour le film coréen.
(casoleil: plutôt pas mal, d'ailleurs. "Il Mare" de Lee Hyun-seung. Une belle idée de départ, une très belle photographie, dommage que le film vire sentimentalo-bébête vers la fin...)

D'ora in poi mai più problemi

E' arrivato......
finalmente le nostre pene sono finite.

12.12.06

Mamma! Sono diventato bravo in matematica

...che è sempre stata la mia bestia nera quando andavo a scuola. Ma 'stavolta ho prodotto il mio primo calcolo ufficialmente documentato.

Domenica mattina, 5 minuti dopo essermi alzato, sono stato colto da un dolore atroce alla schiena, il dolore più forte che abbia mai sentito e che mai augurerei a nessuno (in realtà ci sono un paio di persone alle quali lo auguro volentieri, ma questo è un altro discorso). Colto da una crisi di panico, non ho ragionato subito su quello che avevo e mi ci è voluto un po'e l'aiuto di Carine e di internet per capire che era una colica renale. Dopo una 1/2oretta il dolore s'era calmato, ma poi è ripreso ancora + forte. Borsa dell'acqua calda e Carine è partita a cercare una farmacia di turno aperta x prendere un voltaren (3 ore circa). Un'ennesima crisi e alla fine sono riuscito a produrre questo micro sassolino (cfr. punta di matita). Da quel momento il dolore è passato e mi son rimesso a letto, spossato.


Maman! Je suis devenu un as des maths
...alors que c'était ma bête noire quand j'allais à l'école. Cette fois, j'ai produit mon premier calcul officiellement documenté.

Dimanche matin, 5 minutes après le réveil, j'ai été pris d'une douleur atroce dans le dos, une douleur comme je n'en avais jamais connue et que je ne souhaite à personne (en fait, il y a bien une ou deux personnes à qui je la souhaite, mais c'est une autre histoire). Pris de panique, je n'ai pas tout de suite analysé ce qui m'arrivait et il m'a fallu un peu de temps et l'aide de Carine + internet pour comprendre qu'il s'agissait d'une colique rénale. Après 1/2 heure de souffrance, la douleur se calme, mais elle reprend ensuite avec plus de force. Je me munis d'une bouillote et Carine part chercher une pharmacie ouverte pour acheter du voltaren (presque 3 heures). Après un ennième crise j'ai réussi à produire ce tout petit caillou (cf. pointe du crayon). Ensuite, la douleur s'est calmée et je me suis remis au lit, sans forces.

10.12.06

NIPPON KOMA (1)




points forts:

festival “light” tout à fait adapté aux emplois du temps des travailleurs!
Deux projections par jour, 18h30 et 21h30.

la programmation était partagée en deux sections: films d’animation et documentaires. Il est assez rare qu’on accorde une aussi grande place aux documentaires dans les programmations des festivals de cinéma, à moins qu’il ne s’agisse précisément d’un festival de films documentaires.

punti forti:

festival “light” perfettamente adattato alle agende dei lavoratori!
Due proiezioni al giorno, 18.30 e 21.30

la programmazione era divisa in due sezioni: film d’animazione e documentari. E’ abbastanza raro che si dedichi così tanto spazio ai documentari all’interno della programmazione di festival di cinema, a meno che non si tratti appunto di un festival di film documentari.


points faibles:

la programmation qui ne semblait pas avoir de logique particulière. Le choix des œuvres présentées semble avoir été fait au hasard...

Quant au choix de ne proposer que 6 épisodes de Paranoia Agent, alors que nous avons eu droit à la rétrospective quasiment complète des œuvres très répétitives des auteurs Tanaami Keiichi & Aihara Nobuhiro me laisse perplexe...

En grande majorité, nous avons eu droit à des projections de DVD. Le DVD n’étant pas particulièrement fait pour la salle cinématographique, la qualité laissait souvent franchement à désirer.

punti deboli:

la programmazione che non sembrava avere una logica particolare. La scelta delle opere presentate sembra essere stata fatta a caso...

Quanto alla scelta di proporre solo 6 episodi di Paranoia Agent mentre abbiamo avuto diritto alla retrospettiva quasi completa delle opere molto repetitive degli autori Tanaami Keiichi & Aihara Nobuhiro mi ha lasciato un po’ perplessa...

Nella stramaggioranza dei casi, abbiamo avuto diritto a proiezioni di DVD. Il DVD non essendo particolarmente adatto alla sala cinematografica, la qualità lasciava spesso a desiderare.

NIPPON KOMA (2)

Quelques titres dont je veux me souvenir:
Alcuni titoli di cui mi voglio ricordare:

- Narita: Heta village - Ogawa Shinsuke (1973)

Dès 1968, les habitants du village de Narita et des villages alentours s’élèvent contre la construction de l’aéroport international de Tokyo, projet mis en place sans aucune considération pour les intérêts locaux. Les actions menées par les villageois et les luttes étudiantes font l’objet des films précédents. Le premier, Summer in Narita (1968) fut le point de départ d’une série de sept documentaires sur Narita et permit au réalisateur d’établir une méthode de tournage: vivre avec les gens filmés.
Dans ce film, on ne voit pas les actions de lutte à proprement parler, mais les conséquences de six ans de lutte sur la vie des villageois. L’aspect ethnographique du film est passionnant: grâce à sa méthode de tournage, le réalisateur nous plonge au cœur de la vie de ces villageois, de leurs habitudes, de leurs rites, mais aussi de la grande solidarité qui s’est créée tout au long de ces années de lutte. Derniers instantanés d’une vie destinée à disparaître...

Già dal 1968 gli abitanti del villaggio di Narita e dei villaggi vicini si mobilizzarono contro la costruzione dell’aeroporto internazionale di Tokyo, progetto elaborato senza alcuna considerazione per gli interessi locali. Le azioni dei paesani e le lotte studentesche sono l’oggetto di film precedenti. Il primo, Summer in Narita (1968) fu il punto di partenza di una serie di sette documentari sulla città di Narita e permise al regista di stabilire un metodo per le riprese: vivere insieme alle persone filmate.
In questo film non si vedono le azioni di lotta propriamente dette, ma le conseguenze di sei anni di lotta sulla vita dei paesani. L’aspetto etnografico è appassionante: grazie al suo modo di girare, il regista ci immerge nella vita di questa gente, nelle loro abitudini, nei loro riti, ma anche nella grande solidarietà che si è creata durante questi anni di lotta. Ultime immagini di una vita destinata a sparire...



- Kiba, Tokyo Micropole - Catherine Caudou (2004)

Le documentaire fait le portrait d’un quartier de Tokyo, Kiba, où la vie semble résister aux attaques de la modernité et au rythme frénétique de la mégalopole. Ici, tout semble paisible. On continue à préparer le tofu artisanalement, à construire les tatamis à la main et tout le monde participe aux nombreuses fêtes qui réunissent toutes les générations dans la cour du temple.
Questo documentario ritrae un quartiere di Tokyo, Kiba, dove la vita sembra resistere agli attachi della modernità e al ritmo frenetico della megalopoli. Qui, tutto sembra tranquillo. Si continua a preparare il tofu artigianalmente, a costruire i tatami a mano e tutti participano alle numerose feste che riuniscono tutte le generazioni nel cortile del tempio.


Et tout plein de courts, mais la sélection ci-dessous se résume à ceux dont j’ai pu trouver une image, sinon ça va pas vous dire grand chose, en gros...
E poi un sacco di corti, ma la selezione qua sotto si restringe a quelli di cui sono riuscita a trovare una foto, se no diventa solo una lista di nomi e non vi dirà molto...

- Beyond the train tracks - Mikage Tayuta (2005)


- Tough Guy - Kishimoto Shintarou (2005)


- Platform - Tacoroom (2004)


- Wamono (spot bière Hifana) - de+Cruz / W+K Tokyo Lab (2005)



- Kotatsuneko - Aoki Jun (2005)



- Scope - Yabuki Makoto (2005)

NIIPPON KOMA (3)


Paranoia Agent - Kon Satoshi (2004)

Le fil conducteur de cette série est le personnage Shonen Bat, un gamin chaussé de rollerblade et armé d’une batte de baseball, un tueur en série sanguinaire qui réussit à disparaître après chaque attaque.
Nous avons pris la série en cours de route puisque le festival proposait les 6 derniers épisodes et l’impact fut assez violent. D’abord, le générique: raa-eee-yaa..ra-ra-e-yo-ra... proposé sous forme de karaoké et à fond la caisse nous coupe le souffle...(mais jugez plutôt par vous même!)Ensuite c’est l’absurde de la situation qui nous déroute: trois personnages se rencontrent pour aller gaiment...se suicider! Le ton est donné, les épisodes suivants seront tous teintés d’un humour férocement noir, à part les trois derniers épisodes, plus drammatiques, moins délirants et un brin compliqués pour des néo-telespectateurs de la série comme nous! Si seulement on nous avait proposé la série complète, peut-être que la fin aurait été moins “cryptique”!

Il filo conduttore di questa serie è il personaggio di Shonen Bat, un ragazzo che gira in rollerblade armato di mazza da baseball, un serial killer sanguinario che riesce sempre a sfuggire alla polizia.
Abbiamo preso la serie in corso poiché il festival proponeva i 6 ultimi episodi e l’impatto fu assai violento. Prima di tutto, la sigla: raa-eee-yaa..ra-ra-e-yo-ra...con l’opzione karaoke e a tutto volume ci toglie il fiatto...(ma giudicate voi stessi!) Poi è l’assurdo della situazione che ci lascia interdetti: tre personaggi si incontrano per andare gioiosi...a suicidarsi! Lo stile è impostato, gli episodi successivi saranno tutti tinti di un feroce umorismo nero, tutti tranne i tre ultimi episodi, più cupi, meno deliranti e un pelo complicati per i neo-telespettatori della serie che siamo! Se solo ci fosse stato proposto la serie completa, magari la fine ci sarebbe sembrata meno “criptica”!

Paranoia Agent - générique début

9.12.06

Cicciobomba

Carine mi consiglia di spiegare a tutti voi (cioè solo a quelli che non lo sanno, mo' son cazzi suoi che lo deve tradurre in francese) chi è cicciobomba.
Cicciobomba è il personaggio di una filastrocca, molto in voga quando ero piccino, che si usava per schernire i bambini cicciottelli. Essa diceva + o - così:

Cicciobomba cannoniere
con tre buchi nel sedere
con due buchi nella pancia
cicciobomba vola in Francia (il xkè non si sa).

Uso questo username già da parecchi anni, un po' per scherzare con l'accumulo di chili che ho avuto nell'ultima decade e un po' in omaggio al brano di Elio T.V.U.M.D.B.,cantato con Giorgia, nel quale il personaggio cicciobomba viene utilizzato per identificare il cantante dei takethat.


Carine me conseille d’expliquer à vous tous (c’est-à-dire à ceux qui ne le savent pas, et maintenant c’est son putain de problème, vu que c’est elle qui doit le traduire en français
- casoleil: “effectivement, premier problème: cazzi suoi, intraduisible et vulgaire, en plus!”)
qui est cicciobomba
- casoleil: “c’est également in-tra-dui-sible, mais on va dire: patapouf explosif, ça sonne bien”.
Patapouf explosif est le personnage d’une comptine, très en vogue quand j’étais petit, qui était utilisée pour railler les enfants rondelets. Les paroles disaient + ou - moins ça:


Patapouf explosif cannonier
a trois trous dans le derrière
a deux trous dans la bedaine
Patapouf explosif s’envole vers la France
(le pourquoi restant un mystère)

J’utilise ce nickname depuis quelques années déjà, un peu pour me moquer des kilos que j’ai accumulés au cours de la dernière décennie et un peu en hommage à la chanson de Elio “T.V.U.M.D.B.”, chanté en duo avec Giorgia, dans laquelle le personnage du patapouf explosif est utilisé pour identifier le chanteur des takethat.

traduction(exténuante): casoleil


Prazeres (piaceri-plaisirs)

Visto Carine? Basta un piccolo sciopero che subito la gente va in panico e comincia a mandarti dei commenti.
Eccomi qua al mio primo post autonomo a parlare di un argomento non proprio dei più felici (in realtà è un compito che mi ha dato Carine per vedere se sono all’altezza di scrivere nel suo blog)






Vi mostro quindi alcune foto del posto dove mi piacerebbe essere sepolto se nel momento del trapasso sarò ancora a Lisbona.










Il cimitero di Prazeres si trova al capolinea dell’electrico 28 (mezzo di locomozione di scarsa affidabilità) e non ha nulla da invidiare ai più blasonati cimiteri parigini. Si gode di un’ottima vista rio.



Ovviamente tutti i posti sono già stati prenotati dall’alta borghesia lisboeta, per cui, se vi capita di morire a Lisbona, troverete posto solo nel più popolare cimitero di alto s.joão.
Non vi so dire nulla sul servizio cremazioni, ma mi informerò.





T’as vu ça, Carine? Il suffit d’une petite grêve pour que les gens paniquent et commencent à publier des commentaires.
Pour mon premier post indépendant je ne vais pas parler d’un thème des plus joyeux (en réalité c’est un exercice que Carine m’a donné pour voir si je suis à la hauteur d’écrire dans son blog). Je vous montre donc quelques photos de l’endroit où j’aimerais être enterré si, au moment de rendre l’âme, je me trouve encore à Lisbonne.
Le cimetierre de Prazeres se trouve au terminus de l’electrico 28 (moyen de locomotion peu fiable) et n’a rien à envier aux plus célèbres cimetierres parisiens. On y jouit d’une excellente vue sur le fleuve. Evidemment toutes les places ont déjà été réservées par la haute bourgeoisie de Lisbonne, donc si par hasard il vous arrivait de mourir à Lisbonne, vous ne trouveriez de place que dans le plus populaire cimetierre de l’Alto S. João.
Je ne sais rien des services de crémation, mais je m’informerai.


traduction: casoleil

26.11.06


ALARME LARANJA!!


Venerdì una tempesta degna dell'apocalisse ha mandato in tilt metà Portogallo e ha creato innondazioni in molte zone. Vento a 120 km orari e pioggia violentissima hanno provocato danni ovunque. Il vento ha soffiato sempre più forte nel corso della giornata fino all'apoteosi verso le 17.00. Proprio l'ora alla quale Paolo doveva affrontare la strada del ritorno (bus bloccato poi dirottato perché a un certo punto la strada era innondata, ha impegnato tre ore per tornare a casa). La vista dalle finestre era impressionante. Ho pensato per un attimo che le finestre non avrebbero retto visto la violenza con la quale la pioggia batteva contro i vetri, ma dopo questo piccolo assaggio di fine del mondo, il vento si è pacato e la notte fu solo mooolto umida...

Il giorno dopo, come se niente fosse, un radioso sole ci sorprende al risveglio. Ci sembra di aver sognato tutto, ma a poca distanza da casa troviamo la prova che era successo davvero...

E torna ad essere "alarme laranja" per i prossimi due giorni. Aiutoooo!


Vendredi une tempête digne de l’apocalypse a mis en tilt la moitié du Portugal et a innondé de nombreuses zones. Un vent à 120 km/h et des pluies très violentes ont provoqué des dommages un peu partout. Le vent a soufflé toujours plus fort tout au long de la journée jusqu’à l’apothéose vers 17h00. Justement l’heure à laquelle Paolo était sur le chemin du retour (bus bloqué, puis détourné parce que la route était innondée, il a mis près de trois heures pour rentrer). La vue depuis ma fenêtre était impressionnante. J’ai même cru un instant que les fenêtres n’allaient pas résister, vu la violence avec laquelle la pluie battait sur les vitres, mais après ce petit avant-goût de fin du monde, le vent s’est calmé et la nuit fut seulement très humide...

Le jour suivant, comme si de rien n’était, un soleil radieux nous a surpris au réveil. Tout ça n’était peut-être qu’un rêve, après tout...mais non loin de chez nous, nous trouvons la preuve que tout était vrai...

Et demain, c’est de nouveau “alarme laranja” pour les deux prochains jours. Au secouuuurs!

21.11.06



DELLA SALVAGUARDIA DEL PARQUE MAYER
DE LA SAUVEGARDE DU PARQUE MAYER





Quello che probabilmente non troverete nelle guide è il Parque Mayer, almeno nella sua parte inferiore visto che per Parque Mayer s’intende anche il giardino botanico universitario sopra. Sì, perché la sua ora di gloria appartiene al passato come anche il suo declino apparentemente e quello che rimane oggi della città del divertimento, la “Broadway portoghese” non è che una città fantasma, un el dorado del cabaret dopo la corsa all’oro! Il vuoto, i teatri abbandonati, a volte in rovine, tutto ciò è assai affascinante, ci si crederebbe sul set di un film di David Lynch....
Ce que vous ne trouverez probablement pas dans les guides, c’est le Parque Mayer, plus précisément la partie inférieure du parc, vu que par Parque Mayer on désigne aussi le jardin botanique universitaire qui se trouve au-dessus. Oui, parce que son heure de gloire est bien finie, son déclin aussi apparemment, et ce qu’il reste aujourd’hui de la cité du théâtre, la “Broadway portugaise”, n’est qu’une sorte de ville fantôme, un el dorado du cabaret bien après la ruée vers l’or! Le vide, les théâtres abandonnés, parfois en ruines, c’est assez fascinant, on se croirait sur le set d’un film de David Lynch....



Ma la situazione non è molto brillante. L’emblema di questo centro del varietà, l’enorme Capitólio che troneggia in mezzo, è chiuso dagli anni 80 e da allora non è stato fatto niente per salvarlo. E conta ben poco che sia parte dela lista del “World Monuments Funds”...
Mais bon, la situation n’est pas brillante. L’emblême de ce centre des variétés, l’énorme Capitólio, qui trône en plein milieu, est fermé depuis les années 80 et rien n’a été entrepris pour le sauver. Et qu’importe qu’il se trouve dans la liste du “World Monuments Funds”...





Apparentemente tanti progetti per la riabilitazione del Parque Mayer sono stati fatti, poi abbandonati. L’ultimo in data essendo quello di Gehry che sembra a un punto fermo, no?! E poi, bisogna vedere quello che ha intenzione di fare il Gehry...Un gruppo si è costituito (Cidadãos pelo Capitólio) e intende fare in modo che il cine-teatro venga preservato ad ogni costo: che sia integrato al progetto Gehry o che sia addirittura trasportato verso un’altra zona di Lisbona..!

Apparemment tout un tas de projets pour la réhabilitation du Parque Mayer ont été établis, puis abandonnés. Le dernier en date étant celui de Gehry qui a plutôt l’air au point mort, non?! Et puis, faut voir ce qu’il veut faire, le Gehry... D’ailleurs, un groupe s’est constitué (Cidadãos pelo Capitólio) qui entend faire en sorte que le ciné-théâtre soit préservé coûte que coûte: qu’il soit intégré au projet Gehry ou bien carrément qu’il soit déplacé vers une autre zone de Lisbonne..!




Ma per alcuni edifici è già troppo tardi...






E questo subirà la stessa sorte?
C’è ancora il Teatro Maria Vitoria che funziona, due o tre osterie (noi abbiamo mangiato da Gina) e un gioiello del buon gusto a due passi: il Maxime, ma c’è da temere che l’erosione non abbia la meglio su questo curioso posto.
Mais pour certains bâtiments, il est déjà trop tard...
Et celui-là subira-t-il le même sort?
Il y a bien le Teatro Maria Vitoria qui fonctionne encore, deux-trois gargottes (nous, on a mangé chez Gina) et un joyau du bon goût à deux pas: le Maxime, mais il est à craindre que l’érosion n’ait raison de ce curieux endroit.




Per saperne di più:
Pour en savoir plus:
http://cidadanialx.tripod.com/capitolio.html

17.11.06

LISBONA - AMAZONIA andata e ritorno
Aller- retour LISBONNE - AMAZONIE




Domenica scorsa, in pieno centro a Lisbona, abbiamo scoperto una porta che apre su un mondo parallelo. La porta in questione eccola qui. Non sembra niente di particolare a prima vista, ma basta pagare 1.53 euro per ritrovarsi in mezzo ad una foresta tropicale. Pazzesco. Circondati da fiori e piante più o meno conosciute...







Dimanche dernier, en plein cœur de Lisbonne, nous avons découvert une porte qui ouvre sur un monde parallèle. La porte en question, la voici. Elle a l’air de rien, comme ça, mais il suffit de payer 1.53 euro et on se retrouve plongés dans une forêt tropicale. Dingue. Entourés de fleurs et de plantes plus ou moins connues...


questo, va bene...
ça, on connait...




ma questo è già più misterioso...
mais ça déjà beaucoup moins...









Questo piccolo paradiso terrestro non è altro che un giardino artificiale che risale al XV° secolo, diviso poi in due serre: A ESTUFA FRIA , che non è protetta da vetri come si può vedere su questa foto e il cui tetto accoglie i gatti stanchi, e A ESTUFA QUENTE protetta da una struttura di vetro.
Ce petit paradis terrestre n’est autre qu’un jardin artificiel datant du XVème siècle et, par la suite, divisé en deux serres : A ESTUFA FRIA, qui n’est pas protégée par des baies vitrées comme on peut le voir sur cette photo et dont le toit accueille les chats fatigués, et A ESTUFA QUENTE dans sa structure en verre.

In fondo alla estufa fria, immersa nella giungla e affiancata da un laghetto, si trova una costruzione nella quale abbiamo potuto vedere una mostra fotografica, il Projecto Lisboa, che riuniva diversi autori portoghesi che hanno principalmente cercato di fotografare la città o i suoi abitanti...




Dans le fond de la estufa fria, immergé dans la jungle et bordé par un petit lac, apparaît un bâtiment dans lequel nous avons pu visiter une exposition de photos, le Projecto Lisboa, qui regroupait différents auteurs portugais qui ont essentiellement cherché à photographier la ville ou bien ses habitants...




11.11.06

VIVA A BANDA DESENHADA!

Era già da quasi un mese che ne parlavamo (visto che trovavamo la pubblicità ogni mattina nel Destak, uno dei giornali gratuiti che si trovano nel metro e che sono perfetti per la mezz’ora di autobus che ci aspetta a partire da Campo Grande, è solo per leggere un po’ di portoghese, non è per la qualità delle notizie....e alla faccia della parentesi!!) e ci siamo decisi ad andarci domenica. Dove? Ma al 17° festival de Banda Desenhada de Amadora, ovviamente!
Ça faisait presque un mois qu’on en parlait (faut dire qu’on trouvait la pub tous les jours dans le Destak, un des journaux gratuits qu’on trouve dans le métro et qui sont parfaits pour la demie-heure de bus qui nous attend à partir de Campo Grande, c’est juste pour lire un peu de portugais, c’est pas pour la qualité des infos...et pour une parenthèse c’est une parenthèse!!) et nous nous sommes finalement décidés à y aller dimanche. Où ça? Au 17° festival de Banda Desenhada de Amadora, évidemment!
Raggiungere Amadora, un quartiere perferico di Lisbona non era certo una passeggiata. E siccome avevamo lasciato la macchina all’Anim, abbiamo dovuto prendere l’autobus 726 dal capo linea che si trova vicino a casa nostra, Sapadores, fino alla fine della fine della linea. Siamo partiti verso le 13.00. Una ora dopo, giravamo affamati per le strade di Pontinha, altro quartiere periferico attaccato a Amadora, non proprio il tipo di posto dove puoi trovare un ristorante ad ogni angolo...
Rejoindre Amadora, un quartier périférique de Lisbonne n’avait rien d’une petite balade. Et comme nous avions laissé la voiture à l’Anim, il nous a fallu prende le bus 726 du terminus près de chez nous, Sapadores, jusqu’au bout du bout de la ligne. Nous sommes partis vers 13h. Une heure plus tard, nous errions affamés dans les rues de Pontinha qui jouxte Amadora, pas exactement le genre de coin où tu trouves un restau tous les 100 mètres...
Dopo un primo tentativo: un bar ristorante che non faceva ristorante quel giorno, ci indicano apparentemente l’unico posto in cui si possa mangiare la domenica a Pontinha...caspiterina, una “pizzaria”! Incredibile! Impossibile! Pazzesco! La folle speranza di poter mangiare qualcosa che assomiglierebbe un po’ a una pizza si fa strada in noi. Entriamo, sembra un 100% di brasiliani. Ci indicano il sotto-suolo, scendiamo e troviamo in effetti qualche tavolo. Chiediamo se si può mangiare: “Pois, pois...” (certo) Ci sediamo e un gentile ragazzo si avvicina apparentemente per comunicarci il menu. Accidenti, parla bassissimo e: 1- Paolo non sente niente perché il caro ragazzo è girato verso di me, 2- Sento, ma non capisco nulla tranne: “temos só.....” (abbiamo soltanto.....). E mi sento di rispondere: sì, va bene. Grazie. E due birre. Dopo ci spiega che la domenica fanno un piatto unico e che tra qualche minuto sarà pronto e potremo andare a servirci finché vogliamo. Paolo, molto contento che abbia capito qualcosa del menu, mi chiede cosa stiamo per mangiare e sono assolutamente incapace di dirglielo!! Bè, già sappiamo che è un piatto unico e che è self-service, non è poi così male!! Rimane da sapere che cosa hanno cucinato questi brasiliani. Paolo si lascia andare all’angioscia la più totale: trippe in salsa di insetti?? Cervelli di scimmie bollite??
Après un échec: un bar restaurant qui ne faisait pas restaurant ce jour-là, on nous indique apparemment le seul endroit où l’on puisse manger le dimanche à Pontinha...putain, une “pizzaria”! Incroyable! Impossible! Dingue! Le fol espoir de pouvoir manger un truc qui ressemblerait de près ou de loin à une pizza nous étreint. On entre, ça a l’air 100% de brésiliens. On nous indique le sous-sol, on descend et on trouve en effet qqs tables. On demande si on peut manger: “Pois, pois...” (bien sûr) On s’assoit et un gentil jeune homme s’approche de nous apparemment pour nous communiquer le menu. Allons bon, il parle tout bas et: 1- Paolo n’entend rien parce que le gentil jeune homme est tourné vers moi, 2- J’entends, mais ne comprends rien à part: “temos só.....” (nous avons seulement....). Et je m’entends répondre: oui, très bien, merci. Et deux bières. Après ça, il nous explique que le dimanche ils font un plat unique et que dans qqs minutes, ce sera prêt et on pourra aller se servir tant qu’on veut. Paolo tout content que j’aie compris me demande ce qu’on va manger et je suis bien incapable de le lui dire!! Bon, déjà on sait que c’est plat unique et libre-service, c’est pas mal!! Reste à savoir ce qu’ils vont avoir préparé ces brésiliens-là. Paolo s’abandonne à l’angoisse la plus totale: des tripes à la sauce d’insectes?? Des cervelles de singes bouillies??
La gente comincia ad arrivare (sono quasi le 14.30...), sembra che si conoscano tutti, forse siamo nel bel mezzo di un pranzo di famiglia....Vengono ad invistarci ad avvicinarci per servirci, la suspence è al suo culmine....feijoada!! L’abbiamo scappata bella! La feijoada è un piatto brasiliano composto da una specie di spezzatino a base di carne di maiale, salsiccia piccante e fagioli neri, accompagnato di riso, di fette d’arance, di una specie d’insalata(??) leggermente amarognola tagliata a listarelle molto fini e con aglio e di una specie di pan grattato (veramente è farina di manioca) con dei pezzi di non so che cosa dentro. Ho disperatemente cercato di capire cosa si faceva del pan grattato in questione, ma la gente attorno a noi non aveva un modo omogeneo di procedere: alcuni lo mettevano sulla carne, altri sul bordo del piatto....
Les gens commencent à arriver (il est presque 14h30...), ils ont l’air de tous se connaître, on est au beau milieu d’un déjeuner de famille ou quoi...On vient nous inviter à nous approcher des plats fumants pour nous servir, le suspence est à son comble....feijoada!! On l’a écchappée belle! La feijoada est un plat brésilien qui est composé d’une espèce de ragoût à base de viande de porc, saucisse piquante et haricots noirs, accompagné de riz, de tranches d’orange, d’une espèce de salade (??) légèrement amère découpée en fines lamelles et avec de l’ail et d’une espèce de chapelure (farine de manioque) avec des bouts de je ne sais quoi dedans. J’ai désespérément cherché à comprendre ce qu’on en faisait de cette chapelure, mais les gens autour de nous faisaient tous rien qu’à pas être d’accord! Certains la mettaient sur la viande, d’autre à côté....
Ci invitano a fare il bis. Siccome è già la terza volta che ci dicono che possiamo mangiare quanto vogliamo, preferiamo evitare l’incidente diplomatico, ma non ho assolutamente più spazio nello stomaco! Non è stata la feijoada migliore della mia vita, ma per 6 euro, caffè compreso, è un buon rapporto quantità-prezzo! Siamo calorosamente invitati a tornare domenica prossima. Il gentile ragazzo prova a spiegarci il menu, proviamo a capire....Sarà carne di maiale, ma non so dirvi di più malgrado i suoi sforzi per spiegarci di che parte dell’animale si trattava...!
On nous invite à nous reservir. Comme c’est au moins la troisième fois qu’on nous dit qu’on peut manger tant qu’on veut, on décide qu’il vaut mieux éviter l’incident diplomatique, mais je n’ai franchement plus de place dans mon estomac! Ce n’était pas la meilleure feijoada de ma vie, mais pour 6 euros café compris, on peut dire que c’est un bon rapport quantité-prix! Nous sommes chaleureusement invités à revenir dimanche prochain. Le gentil jeune homme tente de nous expliquer le menu, on tente de comprendre... Ce sera de la viande de porc, mais je ne peux absolument pas vous dire de quel genre malgré ses efforts pour nous expliquer de quelle partie il s’agit...!


Secondo la mappa, ci rimane un po’ di strada da fare, allora andiamo! Lasciamo Pontinha seguendo una stradina a forte pendenza che dà su un ponte completamente abbandonato e deserto. Sembra che gli urbanisti abbiano cambiato idea: il ponte, bloccato con grossi blocchi di cemento, è impraticabile per le macchina e passa sopra una strada che s’interrompe in mezzo al nulla, un paesaggio strano di decadenza urbana. Cinematografico, ma non fotografico visto che non abbiamo pensato a utlizzare la macchina fotografica!! Desculpa.

Bon, d’après la carte, il nous reste encore un peu de chemin à faire. Alors en route! On quitte Pontinha par une petite rue qui descend très fort et qui donne sur un pont complètement abandonné et désert. Il semble que les urbanistes aient changé d’avis: le pont, bloqué par de gros parpaings de ciment, est inutilisable pour les voitures et passe au-dessus d’une route qui sinterromp au milieu de nulle part, un paysage étrange de décadence urbaine. Cinématographique, mais pas photographique, vu que nous n’avons pas pensé à utiliser l’appareil photo!! Desculpa.




La mappa si dimostra assai poco fedele alla realtà nella quale stiamo camminando, ma con un po’ di fortuna, raggiungiamo finalmente il luogo del festival. La prima della mostra è dedicata agli autori portoghesi, proprio quello che volevamo vedere: grandi consommatori di fumetti, siamo molto curiosi di vedere quello che fanno gli autori del momento. E non ci deludono. Ecco alcuni degli autori che ci sono piaciuti di più:


La carte se révèle on ne peut moins fidèle à la réalité dans laquelle nous marchons, mais avec un peu de chance, nous trouvons le lieu du festival. La première partie de l’exposition est dédiée aux auteurs portugais, justement ce pourquoi on est venus: grands consommateurs de BD, nous sommes très curieux de voir ce que font les auteurs du moment. Et nous ne sommes pas déçus. En vrac, voici les auteurs qui nous ont le plus plu:



Filipe Abranches (vincitore dell’edizione precedente)

Filipe Abranches (vaincqueur de l’édition précédente)


Luis Louro, il mio preferito al momento. Uno dei suoi personaggi è un super(cialtrone)-eroe, o Corvo, che “protegge” le stradine buie del quartiere dell’Alfama. Raramente ho visto l’electrico 28 in questo stato e neanche la Sé (la chiesa)....
Luis Louro, mon préféré du moment. Un de ses personnages est un super(nase)-héros, o Corvo, qui “protège” les petites rues sombres du quartier de l’Alfama. J’ai rarement vu l’electrico 28 dans un état pareil, de même que la Sé (l’église)...



Miguel Rocha (vincitore di questa edizione) e il suo bellissimo “Salazar - agora e na hora de sua morte”
Miguel Rocha (vaincqueur de cette édition) et son très beau “Salazar - agora e na hora de sua morte”


José Carlos Fernandes & Luís Henriques



Ricardo Ferrand (strano, mi sembra di riconoscere la chiesa rappresentata qui, voi no?)
Ricardo Ferrand (tiens, je reconnais l’église représentée ici, pas vous?)

E pochissime donne, ma eccone almeno una: Isabel Carvalho
Et pas beaucoup de femmes, mais en voici au moins une: Isabel Carvalho


Il resto della mostra proponeva un vasto panorama mondiale del fumetto. Tante (troppe) cose da vedere. Vi proponiamo un polacco che non piacerebbe molto a Brigitte Bardot e agli animalisti, un serbo che molti di voi conoscono già, un ungherese che ha studiato scienze politiche e un algerino che ricorderà qualcosa ad alcuni...Non è che un campionario molto ridotto, ma ci sarebbe voluta una settimana intera per fare tutte le foto che avremmo voluto fare.
Le reste de l’exposition proposait un vaste tour du monde de la BD. Plein (trop) de choses à voir. On vous propose un polonais qui ne plairait pas beaucoup à Brigitte Bardot, un serbe que beaucoup connaissent déjà, un hongrois qui a fait sciences po et un algérien qui rappellera quelque chose à certains....Ce n’est qu’un tout petit échantillonage, mais il nous aurait fallu au moins une semaine pour faire toutes les photos qu’on voulait.