14.9.08

déformations professionnelles

Il y avait beaucoup de brouillard, ce jour-là...


Puis, le vent se mis à souffler...


...de plus en plus fort.

Le vent était chargé de blobs qui se mirent à attaquer les présents.

A la fin de l'histoire, le vent et les monstres visqueux auront raison de toute trace de vie;
c'est une triste histoire, celle de la disparition d'un film. Inexorable et fascinante, car elle prend les formes les plus étonnantes. Et moi, je succombe à l'étrange beauté de la décadence.

Um comentário:

cicciobomba disse...

parabêns, molto bello, e poi finalmente qualcosa che non siano graffiti