
Puis, le vent se mis à souffler...
...de plus en plus fort.
Le vent était chargé de blobs qui se mirent à attaquer les présents.
A la fin de l'histoire, le vent et les monstres visqueux auront raison de toute trace de vie;c'est une triste histoire, celle de la disparition d'un film. Inexorable et fascinante, car elle prend les formes les plus étonnantes. Et moi, je succombe à l'étrange beauté de la décadence.

Um comentário:
parabêns, molto bello, e poi finalmente qualcosa che non siano graffiti
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