11.3.07

LISBOA, CIDADE TURISTICA (2)



Au registre des choses nouvelles, j’ai finalement été visiter l’église, mais surtout le monastère de São Vicente de Fora. Les murs des deux cloîtres sont couverts d’azulejos représentant surtout des scènes champêtres, mais il y a aussi des scènes de guerre dans l’ancien réfectoire: les conquêtes de Lisbonne et Santarém par D. Afonso Henriques (pour déloger les musulmans). Le Panthéon des Bragança est plein de tombeaux des rois du Portugal (de D. João V au dernier, D. Manuel II). Bon. L’espèce d’exposition sur la christianisation du Portugal (pas sûr) pleine d’objets religieux. Bah. L’exposition des azulejos représentant les fables de La Fontaine pleine de carreaux et de fables, la plupart desquelles m’étaient complètement inconnues. Mais ce qui vaut à tous les coups la peine, c’est la vue du toit de l’église à 180°, splendide.


Un grand classique que nous n'avions toujours pas exploré: o Convento do Carmo. C'est finalement chose faite après avoir si souvent regardé avec curiosité cette nef éventrée qui surplombe la Baixa. Le toit de la nef fut détruit pendant le grand tremblement de terre de 1755 et ne fut jamais reconstruit, une disattention (!) qui confère au petit musée archéologique un charme incroyable.


Autre chose que nous voulions faire depuis longtemps: traverser le Tejo en bateau jusqu’à Cacilhas. Il y a toute une zone déshabitée en bordure du fleuve: au milieu des tags et des maisons en ruine, on aperçoit aussi du linge qui sèche à de rares fenêtres...c’est assez fou. Décadence, calme et silence. Quand on s’obstine à suivre les quais on arrive alors à une petite plage de sable près de laquelle se trouve un petit restaurant: Atira-te o Ponte. Suivi d’un autre: O Punto final. Dans le premier on mange une cuisine qui mélange produits portuguais et influences brésiliennes. C’est bon. Beaucoup moins abondant que les portions (même “demi-dose”) des tascas, mas não faz mal. Le deuxième, en revanche, propose des plats portugais plus traditionnels. C’est bon aussi, moins exotique.
Au lieu de revenir directement par Cais do Sodré on s’offre une crosière jusqu’à Belém (20 minutes de traversée au lieu d’1/4 d’heure!). Le bateau est quasiment vide, il transporte une ou deux voitures et nous. Et waouh, on passe sous le pont du 25 Abril!


Au registre des choses qu’on aimerait faire plus souvent, il y a les plages de la Costa da Caparica. Il suffit de traverser le Tejo et on arrive très vite à la mer, ses immenses plages désertes (pour l’instant!), son air iodé et ses bars à couchers de soleil. En attendant d’aller explorer celles autour d’Estoril...


Nel registro delle cose nuove, finalmente sono andata a visitare la chiesa, ma più che altro il monastero di São Vicente de Fora. I muri dei due chiostri sono coperti d’azulejos che rappresentano soprattutto scene campagnole, ma si trovano anche scene di guerra nel antico refettorio: le conquiste di Lisboa e Santerém da parte di D.Afonso Henriques (per sfrattare i musulmani). Il Pantheon dei Bragança è pieno delle tombe dei rei del Portogallo (da D. João V fino all’ultimo, D. Manuel II). Bene.

La mostra di azulejos con le favole di La Fontaine piena di piastrelle e di favole, la maggior parte delle quali mi erano totalmente sconosciute. Ma quello che vale proprio la pena è la visita sul tetto della chiesa con un panorama sulla città a 180°, splendido.

Un grande classico che non avevamo ancora esplorato: o Convento do Carmo. Dopo aver spesso guardato con curiosità quella chiesa sventrata che domina la Baixa, ci siamo finalmente entrati. Il tetto venne distrutto durante il terremoto del 1755 e mai ricostruito. Una "disattenzione" (!) che conferisce al piccolo museo archeologico un grande fascino.

Un’altra cosa che volevamo fare da molto tempo era attraversare o Tejo in barca fino a Cacilhas. C’è una zona disabitata in riva al fiume: in mezzo ai tags e alle rovine, si possono anche vedere dei panni alla finestra di qualche casa...assai incredibile. Decadenza, calma e silenzio. Quando ci si insiste nel seguire il molo, ci si arriva ad una spiagetta di sabbia vicino alla quale si trova un piccolo ristorante: Atira-te O Ponte. Poi un altro: O Punto Final. Nel primo si mangia una cucina che mescola prodotti portoghesi con influenze brasiliane. Buono. Molto meno abbondante delle porzioni (anche “mezza-dose”) delle tascas, mas não faz mal. Il secondo invece propone piatti portoghesi più tradizionali. Pure buono, meno esotico.
Invece di tornare direttamente verso Cais do Sodré ci offriamo una crociera fino a Belém (20 minuti di attraversata invece di un quarto d’ora!). Il traghetto è quasi vuoto, trasporta due macchine e noi. E wow, si passa sotto al Ponte del 25 Aprile!


Nel registro delle cose che vorremmo fare più spesso, ci sono le spiagge della Costa da Caparica. Basta attraversare o Tejo e si arriva molto rapidamente al mare, le sue immense spiagge deserte (per il momento!), la sua aria iodata e i suoi bar dai magici tramonti. Prima di andare a esplorare quelle attorno a Estoril...

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