‘Toutes façons, nos posts, y peuvent bien être chiants, rigolos, stupides ou autres, on n’en saura jamais rien, vu qu’on a un peu de mal à sortir du taux de 0,00001% de commentaires.
Mais d’abord je vous parle pas, je me fais des pense-bêtes, na!
Une sélection de films récompensés par le festival de cinéma fantastique de Porto débarque à Lisboa dans un des rares cinémas qui ose une programmation différente: le Quartetto.
Ça démarre très fort le vendredi soir avec:
HISTORIAS DEL DESENCANTO, Alejandro Valle, Mexique, 2005.

Et puis (last-but-not-least), il y a... Porque te vas?
Ça vous dit quelque chose?
Bande originale du film Cria Cuervos (Carlos Saura, 1975)?
Jeanette Dimech chantait ça comme ça:

Visionnement en deux phases: première phase pendant laquelle, je sursaute au moindre petit bruissement suspect, le corps rigide et nauséaux, pas tranquille. Le sang a commencé à couler dès la première scène, mais ce qui tue est encore non-identifié...
Je décide que ça ne peut pas durer, mais je suis au premier rang et je ne veux pas que la salle entière me voit mettre la main devant mes yeux. Dans un effort extrême de concentration, je me mets à fixer un point de l’écran, le plus éloigné possible du centre et des effusions de sang, des jambes et des têtes coupées, ne reprenant la vision que lors des scènes de blabla.
Et puis, au bout d’un moment, voilà que la mort prend un visage: un groupe de soldats fous furieux, genre machines à tuer, échappés d’une espèce de prison en pleine forêt et qui tuent tout ce qui bouge (en l’occurence des employés d’une boîte qui fabrique des armes). Et là du coup, je sais pas ce qui se passe, mais mon corps se détent complètement. C’est comme à la télé, au journal de 20h, rien que du banal en somme... J’arrive de nouveau à regarder le film, bon, quand même pas tout non plus, ça gicle encore pas mal et là, y a rien à faire, physiquement, je peux pas! Mais ça va beaucoup mieux et je peux commencer à penser que je n’ai pas acheté mon billet pour rien (d’ailleurs, j’ai compris l’histoire, c’est une preuve ça!). En plus, c’est un sale DVD qu’il nous ont projeté, même pas dans son format normal. Ridicule!
(trailer)
Suite et fin ce week-end avec:

Film de science-fiction bien ficelé.
Le monde des affaires s’appuie désormais sur des technologies si avancées que le lavage de cerveau est devenu un moyen banal de former des agents (à leur insu) pour des opérations très élaborées d’espionnage industriel.
Nous suivons l’un de ces agents qui va être sauvé in extremis du lavage de cerveau et qui va donc devenir un agent-double (doublement confus aussi puisqu’il doit cohabiter avec ses deux identités) entraîné dans une aventure au rythme toujours plus haletant...jusqu’au coup de théâtre final plutôt réjouissant.
Le monde des affaires s’appuie désormais sur des technologies si avancées que le lavage de cerveau est devenu un moyen banal de former des agents (à leur insu) pour des opérations très élaborées d’espionnage industriel.
Nous suivons l’un de ces agents qui va être sauvé in extremis du lavage de cerveau et qui va donc devenir un agent-double (doublement confus aussi puisqu’il doit cohabiter avec ses deux identités) entraîné dans une aventure au rythme toujours plus haletant...jusqu’au coup de théâtre final plutôt réjouissant.
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